« En prenant un raccourci à travers une rangée de buissons 2 jeunes soldats allemands sans armes surgirent en levant les bras en l’air et en criant "Kamerad, Kamerad", comme ils avaient l’air aussi effrayés que moi je leur ai dit de se rapprocher en allemand (Kommen sie hier) et je les ai fait prisonniers.

Je les ai ramenés vers le planeur et j’ai demandé à un autre soldat qui passait par-là de les tenir en joue pendant que je les prenais en photo devant le planeur. »